Proclamée en 1959, la journée internationale des droits de l’Homme appelle à promouvoir la liberté, la dignité, la sécurité et la paix de tous les peuples.
Le 10 décembre 1948, les 58 États Membres qui constituaient alors l’Assemblée générale des Nations Unies ont adopté la Déclaration universelle des droits de l’homme à Paris au Palais de Chaillot (résolution 217 A (III)).
La Déclaration des droits de l’Homme fonde la civilisation humaine. Dès son préambule, elle considère que “la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde (…) Que la méconnaissance et le mépris des droits de l’homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l’humanité et que l’avènement d’un monde où les êtres humains seront libres de parler et de croire, libérés de la terreur et de la misère, a été proclamé comme la plus haute aspiration de l’homme”.
Défendre les droits de l’Homme est un devoir et une priorité. Consacrée au lendemain de la Seconde guerre mondial, cet “idéal commun” de l’ONU résonne encore plus fort aujourd’hui.
« En cette Journée des droits de l’homme, engageons-nous de nouveau à garantir les libertés fondamentales et à protéger les droits humains de tous», a déclaré le secrétaire générale de l’ONU Ban Ki-moon.