Entre mai 1943 et avril 1944, l’établissement avait accueilli une centaine d’enfants orphelins. La ministre de la Culture Aurélie Filipetti, a déclaré lors de son allocution que « ce crime est de ceux qui ne peuvent, qui ne doivent jamais être effacés. Mais je veux voir dans l’évolution de ce lieu, dans son ouverture à la jeunesse, un signe d’espérance».
> Voir le site de la Maison d’Izieu, mémorial des enfants juifs exterminés