Dans un article de presse, il affirme : “de toutes les récompenses et disques d’or [je] préfère de très loin les deux prix de la Licra”, ajoutant “je ne suis sans doute qu’une goutte d’eau dans le combat, mais de goutte d’eau en goutte d’eau, ça peut remplir une rivière”. Ci-dessous, un article du Droit de Vivre n°587 (octobre-décembre 1998) sur la remise à Pierre Perret du prix antiraciste de la Licra.
Très engagé dans le combat contre l’extrême droite en France et en Europe, il déclare, à propos du Front National : “Je me battrai toujours contre ça, tant que j’aurai du souffle. Je déplore que les gens (ndlr: les électeurs du Front national) prennent ça à la légère, qu’ils ne se rendent pas compte de l’engrenage dans lequel ils ont mis un pied. Ils ne savent pas qu’on peut les tirer par la jambe, et les avaler tout cru, comme le pays entier”.